RockSound

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couv Dans l’œuvre discographique de Jeff Buckley - fut-elle posthume, il manquait définitivement au triptyque le témoignage du Live et de la scène. Un aspect de l'artiste qui achevait de convaincre jusqu'au dernier de ses détracteurs par la nature de l'engagement. 'est aujourd'hui chose faite avec la sortie de "Mystery White Boy", douze titres de la tournée de 1995-1996 sélectionnés par la mère de Jeff, Mary Guibert, et Michael Tighe, membre de son groupe et ami proche.

Par Yves Bongarçon / photos Philippe Mazzoni
93 Critique de Live à L'Olympia.

Avec le recul et sans avoir peur des grands mots, on peut dire que les deux concerts de Jeff Buckley les 6 et 7 juillet 1995 à l’Olympia constituèrent sans doute l'apogée de sa carrière. En effet, ces deux soirs-là, l'émotion et l'électricité étaient à leur comble entre un Buckley ému de se retrouver dans la salle mythique du succès de son idole Edith Piaf et un public français qui avait déjà fait de lui un héros alors qu'il restait presque inconnu outre-Atlantiqu

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Juillet / Août 2001 numéro 93.
100 En 1993, par le truchement d’un quatre-titres sur le label Big Cat, “Live At Sin-é”, on découvrait tout à trac un chanteur et un compositeur d’exception dont — on ne sait pourquoi — on sentait qu’il serait une étoi-le filante. En août 1994, rock sound est le premier magazine français à le rencontrer en marge d’un concert à Washington DC.
Par Whybee (parût à l'époque dans le Rock Sound n° 17)

Mars 2002 N°100 Spécial Collector.
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